Le grand débat sur l'abondance dans le Boston des années 1840 était de savoir s'il fallait étendre l'approvisionnement en eau avec des systèmes fournis par des entreprises privées ou par la municipalité. Les réformateurs ont plaidé en faveur du bien public (élever les pauvres, réduire l'alcoolisme) et ont combattu le scepticisme concernant les micro-organismes découverts dans l'eau pour justifier cette expansion.